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Daniel Auteuil - Page 2

  • Les sous-doués en vacances

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    Le destin réserve parfois de drôles de surprises comme en témoigne l’histoire entre Claudine & Bebel (Grace De Capitani & Daniel Auteuil). Ils devaient tous deux se rendre aux Seychelles mais leur voyage est tombé à l’eau ce qui leur a permis de se rencontrer et ce fut le coup de foudre immédiat. Engagés pour tester la Love machine en vue de créer le prochain tube du célèbre chanteur Memphis (Guy Marchand), ils filaient le parfait amour jusqu’à ce que Bebel soit piégé. Coureur de jupons insatisfait, Memphis a jeté son dévolu sur Claudine et il est prêt à tout pour l’avoir même à l’engager comme traductrice et l’amener en voyage à Saint-Tropez.

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    Alors si c’est toujours un véritable plaisir de revoir leurs premières aventures, ce second épisode on aurait préféré qu’il ne voit pas le jour. Ça nous aurait peut-être privé de ce méga-tube qu’est Destinée interprété par un Guy Marchand au taquet en mode séducteur, seul lot de consolation de cette comédie poussive. Il y avait déjà une douce folie dans Les sous-doués, ici elle est encore plus exacerbée à l’image d’un pauvre Togo qui se retrouve avec une jambe plus courte que l’autre. Malheureusement, les joies des retrouvailles tournent vite courts devant Les sous-doués en vacances qui enchaine les situations rocambolesques où les rires laissent souvent place à une certaine consternation.


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  • Le guetteur

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    Chargé d’une grosse affaire, le Commissaire Mattéi (Daniel Auteuil) et son équipe sont sur le point de résoudre leur enquête. Ils savent qu’un braquage va avoir lieu au Crédit Général de France et sont en planque attendant que les criminels fassent leur apparition. Dès que ceux-ci sortent de la banque, l’ordre est donné de les arrêter ; ils sont pris au piège mais reçoivent l’aide inattendue d’un sniper. L’opération est un échec total, les bandits parviennent à s’enfuir mais l’un d’eux est gravement blessé toutefois peu de temps après un évènement inattendu relance l’enquête. Un coup de fil anonyme les informe de la planque du sniper et effectivement ils parviennent à appréhender un certain Vincent Kaminski (Matthieu Kassovitz) ; reste maintenant à mettre la main sur ses complices.

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    Sur le papier, Le guetteur s’annonçait plutôt alléchant puisque la caméra est dirigée par l’italien Michele Placido dont L’ange du mal était des plus séduisants. En plus de ça, il y a le face à face entre Daniel Auteuil et Matthieu Kassovitz auquel vient s’ajouter Olivier Gourmet mais qui, au final, nous laisse franchement sur notre faim. Principalement en cause, un scénario qui part parfois en roue libre et qui implique des protagonistes pas ou trop peu développés. Il était évident que les projecteurs allaient se braquer sur le trio de comédiens, le reste du casting n’est ni plus ni moins que de la chaire à canon pour tenter de faire avancer un polar bien loin de tenir ses promesses.

     

    Il faut le voir pour : Surveiller les toits de Paris !

  • La mer à boire

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    Chez les Pierret, la construction navale est un art qui se transmet de génération en génération et notre pote Georges (Daniel Auteuil) en est actuellement le dernier représentant. Depuis la mort de sa femme il y a de cela 8 ans ; il s’est consacré entièrement à son travail hélas malgré la qualité de sa production, la situation économique est difficile. Il éprouve de nombreuses difficultés à obtenir le renouvellement de son crédit bancaire et après de longues tractations, c’est la mort dans l’âme qu’il doit se séparer d’une partie de son personnel. La sauvegarde de son entreprise passe avant tout mais lorsqu’il annonce cette terrible nouvelle, les ouvriers protestent en occupant les ateliers de construction.

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    C’est évidemment un film à forte résonnance sociale et durant sa première heure, La mer à boire est réellement captivant avant, par la suite, de prendre de curieux chemins. Pendant cette première partie, il y a eu une accumulation de tensions résultant de la confrontation entre Georges et ses employés mais aussi du destin funeste de ses potes et puis arrive une romance qui donne un tout autre visage à ce film. Curieux également la façon dont le personnage de Luis est traité, il est l’instigateur du durcissement des négociations puis disparait de façon assez quelconque. On est donc assez dubitatif à l’issue de la séance ressortant avec cette désagréable sensation que Jacques Maillot s’est un peu égaré dans sa dernière partie.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à rompre avec élégance (Ton ironique !).

  • Les sous-doués

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    C’est intolérable ! Une fois encore le Cours Louis XIV de Versailles est la risée de la France affichant un taux d’admission au bac de 0%. Lucie Jumaucourt (Maria Pacôme), proviseur de cet établissement est bien décidée à redresser la barre quitte à employer la manière forte. L’année scolaire ne sera donc pas de tout repos pour les bacheliers même si Bébel (Daniel Auteuil) et sa bande sont bien décidés à ne pas se laisser faire. Ils vont tout mettre en œuvre pour glander tranquillement. Tout ça était vrai jusqu’à un évènement inattendu qui va les pousser à obtenir leur baccalauréat et ce par n’importe quel moyen !

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    Alors c’est sur ce n’est pas une comédie exempte de toutes reproches mais elle est restée culte pour toute une génération de spectateurs par la richesse de ses gags. C’est un peu comme si on retrouvait la bande des Bronzés en salle de classe et chaque rediffusion à la télévision fait aujourd’hui encore des millions d’heureux. Comment ne pas éclater de rire devant ces cancres et surtout face à l'imagination débordante dont ils font preuve pour passer les épreuves du bac ; des idées qui en ont peut-être inspiré certains d’entre vous ! Les sous-doués sont donc sans aucun doute entrés dans la légende du cinéma français, une référence en termes de comédie à mes yeux en tout cas.



    La scène à ne pas louper : La machine à claques !

  • La fille du puisatier

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    Patricia (Astrid Berges-Frisbey) est une charmante jeune femme de 18 ans mais c’est également une fille remarquable. Lorsqu’elle n’apporte pas le déjeuner à son père le Puisatier (Daniel Auteuil), elle s’occupe de la maison et de ses 5 sœurs. En ce jour du 21 Avril où on célèbre sa fête, elle a fait la rencontre d’un homme dont elle apprendra qu’il s’agit de Jacques Mazel (Nicolas Duvauchelle), fils du bazar et aviateur. Entre eux deux c’est le coup de foudre mais à peine se sont-ils connus qu’ils doivent déjà se séparer ; Jacques a été appelé pour partir en Afrique. Il n’a pas le temps de prévenir Patricia mais charge sa mère (Sabine Azéma) de l’avertir.

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    Evoquer Marcel Pagnol dans le cinéma français c’est forcément penser à des films comme La gloire de mon père et Le château de ma mère qui ont jalonné notre jeunesse. Daniel Auteuil fait donc parler la fibre nostalgique pour séduire le spectateur et effectue ses premiers pas en tant que réalisateur. Après la version de Pagnol datant des années 1940 avec Raimu & Fernandel, il dépoussière son œuvre avec passion, un film dans son ensemble plutôt agréable à voir. Auteuil & Merad sont excellents dans leurs rôles, on est moins convaincu par les premières scènes hésitantes d'Astrid Berges-Frisbey et d’un Nicolas Duvauchelle peu crédible. Pour qui a envie d’entendre à nouveau le chant des cigales, voici le film idéal à voir en famille.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas laisser trainer vos filles avec des hommes en motocyclettes, ennuis garantis !

  • Donnant donnant

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    Constant Billot (Daniel Auteuil) ne cesse de le répéter : le coup est parti tout seul ! Cet homme a été condamné à 11 ans de prison après avoir tué accidentellement un banquier et le sort s'acharne sur lui puisqu'il est victime d'un Accident Vasculaire Cérébral. Hospitalisé d'urgence, il profite de cet évènement pour s'évader et se retrouve ainsi dans un coin paumé où il va faire la connaissance de Sylvia (Medeea Marinescu). Celle-ci est au courant de sa fuite mais va saisir l'occasion pour obliger Constant à tuer sa mère adoptive Jeanne (Sabine Azéma) afin que Sylvia puisse toucher l'héritage qu'elle attend depuis tant d'années.

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    Les 2 premiers films d'Isabelle Mergault avait connu un joli succès populaire et pour sa 3ème réalisation, elle fait de nouveau appel à Medeea Marinescu qu'elle avait découvert dans Je vous trouve très beau. Si on l'avait apprécié auprès de Michel Blanc, ici son jeu d'actrice se montre plus limité et fort heureusement Daniel Auteuil est là pour sauver ce qui peut l'être. Quelques bonnes répliques et une piquante mais trop discrète Sabine Azéma sauve le film d'un naufrage que l'on sent poindre dès les 15 premières minutes. Désormais réalisatrice confirmée, les attentes que l'on a de Mergault se font plus exigeants et Donnant donnant ne peut apporter qu'une grande déception, c'est loin d'être Morfidable !

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais oublier de retirer les étiquettes des vêtements récemment achetés, vous aurez l'air moins bêtes !

  • La personne aux deux personnes

    Ecoutez, écoutez !!

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    01.jpgC’est moi qui passe à la radio, là ! C’est la 2ème fois en moins d’un mois, c’est pas incroyable ça ? Un véritable revival je vous le dis ! Qui je suis ? Mais si Gilles Gabriel (Alain Chabat) voyons, mais si vous connaissez forcément mon tube Flou de toi.


    Bref, j’étais sur le point de faire un retour triomphal quand j’ai eu ce stupide accident de voiture. A partir de là, je ne sais plus trop ce qui s’est passé mais je crois que je suis mort car je vois mon corps de l’extérieur.02.jpg

     

    Et voilà comment j’ai atteri chez vous, enfin dans votre corps. Au fait, vous vous appelez comment ? Ok, alors j’ai une grande nouvelle à vous annoncer ; Gilles Gabriel fait son come-back et je vais le faire à travers votre corps !


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  • Je l’aimais

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    Elle se sent complètement dévastée, Chloé (Florence Loiret-Caille) ne s’attendait pas à voir sa famille se désagréger de la sorte après 7 ans de mariage. La faute à un mari infidèle qui entretient une liaison depuis 1 an et c’est encore sous le choc de cette nouvelle qu’elle est prise en main par son beau-père Pierre (Daniel Auteuil). Paradoxalement, entre eux deux il n’y a jamais vraiment eu de rapports ; Chloé s’est toujours considérée comme une étrangère mais c’est cette séparation qui va la rapprocher de Pierre. Le soir venu, au coin du feu, celui-ci se confie et livre un lourd secret ; une histoire d’amour, une passion pour la femme de sa vie alors qu’il était déjà marié.

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    Au départ de ce film, il y a le roman d’Anna Gavalda qui fut également l’auteure d’Ensemble c’est tout lui adapté également au cinéma. Je l’aimais fait preuve d’un ton plus dramatique et cette romance est d’autant plus belle que Zabou Breitman nous gratifie d’une réalisation intéressante. Magnifique idée que cette histoire présentée à partir des souvenirs de Pierre et où le passé s’entremêle parfois au présent. Quelques fausses notes dans l’interprétation et le peu d’alchimie entre les 2 acteurs font qu’on est pas totalement immergé dans cet amour impossible.

     

    Il faut le voir pour : Bien réfléchir avant de quitter votre femme car il faut prendre en compte la voiture, la maison au bord de la mer ...

  • La personne aux deux personnes

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    2 fois dans le même mois, ce n’est plus un hasard, c’est un véritable plébiscite ! C’est la seconde fois que Gilles Gabriel (Alain Chabat), ancienne gloire des années 1980, entend son tube à la radio, preuve indéniable que le public réclame son retour. Ça tombe bien puisque celui-ci prépare son come-back ; un nouvel élan à une carrière très riche mais le destin en a décidé autrement. Un accident de voiture et voilà ses rêves qui volent en éclat mais le plus incroyable c’est que son esprit a atterrit dans le corps de l’homme qu’il a renversé Jean-Christian Ranu (Daniel Auteuil) ; un employé de bureau tout ce qu’il y a de plus banal.

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    Gros buzz autour du personnage de Gilles Gabriel ces derniers mois avec le clip de Flou de toi préparant le terrain à un film bien déjanté. Un scénario aussi simple qu’efficace couplé à l’excellent Daniel Auteuil qui campe merveilleusement cet employé de bureau coincé & le personnage has been de Gilles Gabriel. Dans l’ensemble, on se marre bien devant La personne aux deux personnes, il y a des bonnes idées qui en font la comédie du moment. Il faut évidemment apprécier l’humour très second degré de la part des réalisateurs Bruno & Nicolas qui officiaient autrefois sur la chaine cryptée Canal +.

     

    Il faut le voir pour : Toujours regarder des 2 cotés avant de traverser.
     
     
    Découvrez le film Dans la peau du héros !
  • 15 ans et demi

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    Cela va faire maintenant 15 ans que notre pote Philippe Le Tallec (Daniel Auteuil) s’est installé aux Etats-Unis à Boston pour les besoins de son travail. Il est l’un des scientifiques les plus réputés au monde ; une carrière qu’il a mené au détriment de l’éducation de sa jeune fille Eglantine (Juliette Lamboley). Pour rattraper le temps perdu, il a accepté de revenir vivre en France pour 3 mois et de s’occuper d’elle pendant l’absence de son ex-femme mais un grand danger le guette : la crise d’adolescence ! Il faut qu’il se rende à l’évidence, le monde dans lequel vit aujourd’hui Eglantine est une véritable jungle et ça c’est vraiment la loose !!

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    On s’attendait à une énième comédie bien sage, semblable à ce qu’on avait déjà eu l’occasion de voir et pourtant 15 ans et demi est une véritable bonne surprise. Si le fossé générationnel entre parents et enfants était déjà une bonne source d’inspiration pour donner à ce film sa dose d’humour, les réalisateurs Thomas Sorriaux & François Desagnat donnent en plus un ton complètement décalé. Reste à savoir si cet univers barré sera à votre gout mais pour les amateurs de 2nd voire 3ème degré, c’est un véritable régal. Et puis quand on ajoute en plus une liste impressionnante d’invités comme l’infatigable Julie Ferrier, Alain Chabat, François Damiens ou encore Elie Semoun ; on obtient un très bon film.

     

    Il faut le voir pour : Pipi Caca !!